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Newsletter N°16

 
 

Savez-vous que la pratique de l’elliptique, du rameur ou de la course sur un tapis en regardant Netflix pour « passer le temps » ne crée qu’une bonne fatigue « limitée » ?

De même, savez-vous que si vous cherchez toujours à vous imposer des efforts intenses ou excessifs sans aimer faire autrement, la fatigue que vous créez a de fortes chances de nourrir un processus d’addiction à l’effort… ?

Ces deux remarques sont importantes car elles décrivent des pratiques courantes dans la vie d’Homo Modernicus :

  • Il s’entraine chez lui ou en salle car c’est plus facile à organiser et cela permet de gagner du temps ;
  • Qui ne connait pas un(e) collègue courant le marathon, des trails, des ultratrails ou faisant des triathlons ou du CrossFit ? Ces sports très en vogue en entreprise parmi les salariés sont aussi les sports de prédilection des cadres dirigeants, des dirigeants d’entreprise ou des indépendants.
 

 

Pour beaucoup d’entre nous, le sport permettrait de :

  • Évacuer la tension accumulée par l’effort intense ;
  • Travailler la motivation ;
  • Nourrir le sentiment de récompense ;
  • Aider au dépassement de soi ;
  • Ressentir l’intensité du moment.

Pour d’autres, il permettrait avant tout de passer de bons moments (sports collectifs / sports de raquettes), provoquer des sensations (sports de glisse), évacuer l’agressivité (sports de combat), apprendre de nouveaux mouvements (danse) ou plus simplement chercher à créer une VRAIE BONNE FATIGUE.

 

 

Cela vous dit quelque chose, ce sentiment de grande détente, de grande vidange qui fait qu’on dort bien le soir après une super séance de sport ?

On a le sentiment profond d’être calmé en profondeur et d’avoir pu vider la pression !

Pour en arriver là, le sport doit respecter 3 conditions :

  1. Il faut une certaine intensité d’effort (je m’engage musculairement et/ou cardiaquement),
  2. Il faut faire preuve d’intentionnalité (je suis pleinement à ce que je fais quand je le fais)
  3. Il faut avoir conscience du mouvement (Je ne regarde pas la télé ou je suis perdu dans mes pensées quand je pratique) !

 

Quand on fait cela, on « dérange » le corps et le système nerveux suffisament mais pas trop pour créer un bon stress et ce bon stress  crée la VRAIE BONNE FATIGUE.

Comment on sait qu’on a activé le bon stress ?

Dès qu’une activité nous rend joyeux, permet de ne penser ni aux mails, ni aux soucis parce que nous avons dû nous concentrer pour faire le mouvement, c’est que nous avons activé le bon stress.

Allez, on vous donne un exemple d’exercice qui permet cela : cliquez ici

Vive la recorporation active, la méthode Actistress !



Voici un exercice qui va vous faire travailler

votre cardio tout en réalisant un mouvement

intentionnel et complexe